Diplômée d'un CAP d'esthétique, Valérie Bigot, 53 ans, s'est spécialisée comme socio-esthéticienne après avoir accompagné l'une de ses clientes, atteinte d'une sclérose en plaques.
Elle a suivi le cours d'esthétique à option humanitaire et sociale (Codes) du CHRU Bretonneau, à Tours (Indre-et-Loire). Cette formation, ouverte depuis 1978 et habilitée à délivrer un titre de socio-esthéticienne de niveau IV, a formé plus de 1 500 professionnelles (le métier est très majoritairement féminin). Depuis, d'autres écoles françaises lui ont emboîté le pas.
Certaines socio-esthéticiennes sont salariées d'établissements de santé, notamment dans des services d'oncologie (dans la fonction publique hospitalière, elles peuvent prétendre à des salaires s'échelonnant entre environ 1 530 et 2 330 euros brut en fin de carrière). Mais la plupart sont indépendantes.
Egalement sophrologue, Valérie Bigot a créé son association, Parenthèse, en 2006. Présente à Blois et Vendôme (Loir-et-Cher), cette organisation emploie quatre personnes, dont trois socio-esthéticiennes travaillant avec 33 structures partenaires (Ehpad, Mas, Fam, Esat, missions locales, etc.).
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